MIYAÉchanges avec des spécialistes de l’art et de la religion

Lorsque M. AKKAYA Mahir est rentré en France, il a pris contact avec des « éminences » de l’Art et des religions.

Il a pu avoir des échanges fructueux avec eux en ce qui concerne la qualité et la rareté des œuvres. Tous ont salué avec unanimité la beauté et le caractère unique de ces œuvres d’art d’une valeur inestimable.

bt_bb_section_bottom_section_coverage_image
MIYA

Mahir
AKKAYA

M. Mathieu LOURS, professeur en Art

Un échange a aussi été fait avec M. Mathieu LOURS, professeur en Art, enseignant en Histoire Moderne et en Histoire de l’Architecture à l’Université de Cergy-Pontoise. Il est spécialiste en Architecture Religieuse et notamment des cathédrales.

Il a publié près d’une dizaine d’ouvrages et est reconnu par ses confrères comme étant l’un des plus grands spécialistes en châteaux, cathédrales, églises, architectures sacrées et lieux de pèlerinage.

 

M. Michel LANGLOIS, historien

Mahir a également discuté avec M. Michel LANGLOIS, historien spécialiste des religions et des livres et écrits anciens les concernant.

Il est le plus connu (et reconnu) spécialiste des Apocryphes juifs et chrétiens, du Qumrân et des manuscrits de la Mer Morte.

 

M. Bruno VICTOR-PUJEBET, réalisateur

Mahir avait donc échangé avec M. Bruno VICTOR-PUJEBET, le plus grand réalisateur de documentaires religieux, principalement sur les monuments sacrés comme les églises et les cathédrales.

Il y décrit les particularités et les œuvres d’art s’y trouvant, toujours bien documentées.

 

Daniel C. Lorenzo Santos, directeur de la Fondation de la cathédrale de Compostelle

Daniel C. Lorenzo Santos, directeur de la Fondation de la cathédrale de Compostelle, a argumenté aussi en ce sens en qualifiant le tableau d’une exceptionnelle beauté et totalement inédit.

M. Robin DUPONT, Conservateur du Patrimoine du Sanctuaire de Lourdes

Lors de la remise du don au sanctuaire de Lourdes, M. Robin DUPONT, Conservateur du Patrimoine du Sanctuaire de Lourdes, Docteur en Histoire de l’Art et d’Archéologie, a expliqué à Mahir qu’il s’agit d’un tableau d’une très grande beauté et que la mosaïque de petites pierres est un procédé tout à fait original.

Les deux conservateurs ainsi que celui de Fatima, les responsables d’Oradour-sur-Glane et de la Basilique de Saint-Laurent-sur-Sèvre ont tous exprimé le vœu de recevoir, pour leur lieu respectif, d’autres œuvres de cet artiste, présentant ainsi une demande inédite et surtout exceptionnelle pour de tels lieux.